vendredi 28 mars 2008

SEETHER "Finding Beauty In Negative Spaces"


Ce groupe ( trio) nous propose des mélodies travaillées et un chant varié, les deux étant toujours aussi efficaces. Des titres tels que Breakdown, Rise Above Me, Six Gun Quota, Eyes Of The Devil sont de brillants exemples de leur talent dans l’élaboration de chansons rock comportant ces deux éléments.
Les compositions en elles-mêmes sont vraiment digne d’intérêt et l’ennui ne m’a, a aucun moment, assailli même après plusieurs écoutes consécutives. On reste dans la voie emprunté par le groupe, à savoir un rock heavy qui sait le temps de morceaux acoustiques faire taire la guitare électrique pour laisser la parole à sa grande sœur. C’est lors de Walk Away From The Sun que le groupe nous gratifie d’un de ces titres dans la plus grande tradition rock acoustique US qui fait à chaque fois son effet.
Le résultat, même si loin d’être original, est de qualité et saura combler tous fans de rock actuel. Sans rien révolutionner Seether confirme juste son statut de groupe rock efficace et c’est déjà pas mal !

lundi 24 mars 2008

dimanche 23 mars 2008

BLONDES !!!

C'est une blonde qui retrouve une de ses copines, blonde aussi.
Holalalalalala, j'ai encore raté le permis...
Qu'est ce qui s'est passé ?
Je suis arrivée près d'un rond-point et là comme l'indique le panneau 30,
J'ai fait 30 fois le tour du rond-point.
Et tu t'es trompée de combien de tours ? > >

Deux blondes sont en voiture.
Un oiseau chie sur le pare-brise.
L'une dit : Va falloir l'essuyer.
L'autre rétorque : Bof, il est déjà trop loin.

C'est un professeur qui donne un cours d'histoire à 20 blondes....

Première question : Où est l'Amérique sur la carte ?
Nicole, une des blondes, se lève et trouve l'endroit sur la carte.
Bien,
Deuxième question : Qui a découvert l'Amérique ?
Les 19 blondes se lèvent d'un coup sec et disent :
> > > > > >
C'est NICOLE !!!

Une secrétaire blonde à son patron :
- Monsieur le Directeur, mon salaire n'est pas en rapport avec mes capacités !
- Je le sais bien, ma pauvre fille, mais nous ne pouvons tout de même pas vous laisser crever de faim...

Un patron passe un savon à sa secrétaire blonde :
- Mademoiselle, vous avez fait plus de vingt fautes dans cette lettre ! Vous ne vous êtes donc pas relue ?
- Je n'ai pas osé, Monsieur !
- Pourquoi ?
- C'est écrit 'confidentiel' en haut à gauche...

Une blonde rentre dans un magasin et demande à la vendeuse un déodorant.
La vendeuse lui répond : Un déodorant à boule ?
Et la blonde s'offusque : Non ! Un déodorant pour les dessous de bras

Une blonde est avec son copain dans une voiture garée à l'abri des regards indiscrets.
Ils s'embrassent tendrement et langoureusement quand le garçon propose à la blonde
Tu ne veux pas aller sur la banquette arrière ? La blonde fait la moue, et refuse l'invitation.
Le garçon, courtois, ne brusque pas les choses.
Les 2 amoureux repartent de plus belle dans des embrassades sans fin...
Au bout de quelque temps, le garçon réitère sa proposition :
Tu ne veux pas aller sur la banquette arrière ? La blonde ne semble décidément pas d'accord.
Le garçon reste dubitatif, car tout se passe
bien et il ne comprend pas les motifs de son refus.
Il lui demande : Mais pourquoi ne veux-tu pas aller sur la banquette arrière?
La blonde
lui répond : Parce que je préfère rester avec toi !!!





SAIDIAN "Phoenix" PLUS SAVAGE CIRCUS " Dreamland manor"



Allez deux albums chroniqué pour le prix d'un !!!
Alors quel lien entre les deux hein?
Le plagiat : Pour SAIDIAN écoutez du coté de EDGUY
Pour SAVAGE CIRCUS du coté de BLIND GARDIAN
Franchement les élèves n'ont pas dépassés les maitres écoute les originaux .

lundi 17 mars 2008

BOBAFLEX " Tales from dirt town"


Bobaflex est un groupe américain originaire de la Virginie de l'Ouest emmené par les frères Shaun et Marty McCoy. Leur rock est violent et ne s'embarrasse pas de détours. C'est direct dans la figure sur un rythme endiablé mais pas sans finesses.

D'ailleurs les frères McCoy se montrent aussi agressifs à la guitare qu'au chant. C'est dire si cet opus décoiffe. La rythmique est imposante et même très heavy. Pourtant ils savent varier aussi. "Born Again" en est la preuve. Les voix y sont plus diversifiées. Quant au côté musical, ils osent des changements radicaux en plein morceau se montrant alors plus créatifs.

Bobaflex sait aussi faire dans les tons plus acoustiques. C'est le cas sur ce superbe "I Still Believe" qui alterne un côté doux et simple avec une hargne forte comme une opposition entre vérité et mensonge.

Bon tout cela ne fait quand même pas de ce nouveau et second Bobaflex un indispensable, mais jette une oreille tu ne le regretteras pas .

SIX FEET UNDER "Une série mortelle"

Cette série est un véritable bijou d'humour noir devenue une série culte . Rarement, à mon avis, une série télé n'aura atteint une telle qualité, tant au niveau du scénario que de l'interprétation des acteurs.

Il s'agit d'une série résolument anticonformiste qui brise plusieurs tabous. Le premier tabou est celui de la mort : l'action de la série se déroule dans une entreprise funéraire familiale, Fisher & Sons. Après la mort accidentelle du père, Nathaniel Fisher Senior, ce sont ses deux fils qui héritent de l'entreprise basée à Los Angeles. La disparition de Nathaniel va faire basculer l'existence de tout le reste de la famille. Nathaniel, le fils ainé, ayant fui le foyer familial très tôt, revient pour les obsèques de son père et ne repartira plus. Après avoir tant fui le climat austère et lugubre de sa maison, il reprend l'affaire avec son frère David, qui lui, s'est voué corps et âme à l'entreprise. La famille Fisher est donc à nouveau réunie au complet dans la même maison : Ruth, la veuve éplorée tiraillée entre la culpabilité et l'envie de continuer sa vie de femme (elle entretenait une liaison avec un coiffeur avant que son mari ne passe l'arme à gauche), Claire la cadette, âgée de 17 ans en pleine crise d'adolescence et existentielle, qui va au lycée dans son corbillard repeint en vert et raillée par l'ensemble de ses camarades. Quant à David, il est le fils "modèle" celui qui prend toutes les responsabilités et tente tant bien que mal de gérer Fisher & Sons, menacée par une chaine funéraire qui veut faire couler l'entreprise. Cependant, sous sa carapace d'homme fort, il tente de refouler son homosexualité en la vivant sporadiquement de façon clandestine. A ces personnages s'ajoutent Brenda, la petite amie de Nathaniel rencontrée dans le vol qui le menait à Los Angeles le jour de la mort de son père. Brenda est une fille plutôt fantasque et légère mais sous cette apparence bien des mystères demeurent...Quant à feu Nathaniel Fisher (Richard Jenkins), il vient régulièrement hanter les siens et demeure un personnage récurrent de la série, ponctuant les scènes de ses commentaires toujours sarcastiques.

Chaque épisode démarre par une scène où l'on assiste à la mort d'une personne qui sera "prise en main" par Rico, le "réparateur" de cadavres de la maison funéraire. On suit alors les évènements qui suivent la mort du personnage, son histoire personnelle et sa famille. Parallèlement, on suit les tourments et les interrogations de la famille Fisher. Là où l'anticonformisme est manifeste c'est dans le choix des victimes : on assiste à la mort d'un enfant de 6 ans ou bien celle d'un bébé (ce qui se fait rarement dans les autres séries), d'une ex-star du porno, etc... Tout cela étant montré sans l'ombre de voyeurisme, sans climat malsain.

Un des autres tabous brisé est celui de l'homosexualité, Alan Ball le scénariste, ouvertement gay, a décidé de montrer des scènes d'amour entre hommes très explicites.

Malgrès le contexte qui semble d'office lugubre et sinistre, la réussite de Six Feet Under réside sans doute dans son humour décapant et cynique. Car c'est une série très drôle : dans l'épisode pilote on assiste à des pubs hilarantes, ainsi on peut voir de belles filles présenter un corbillard à la manière du Juste Prix (sans Philippe Risoli, ouf !). On voit aussi une pub vantant les produits de maquillage pour les morts... Bref, c'est vraiment de l'humour noir.

Forte du bouche à oreille très élogieux à son égard, Six Feet Under, est très appréciée par le public et les critiques. La série s'est terminée en pleine gloire, dans un bouquet final absolument détonnant au terme de sa cinquième saison, donnant une sensation de finition plutôt que d'interruption. On se souviendra à jamais d'elle comme l'une des plus belles séries ayant eu comme sujet la mort.

mercredi 12 mars 2008

SIMPLE PLAN "Simple Plan 2008"


Simple et efficace. C’est en ces termes que l’on peut qualifier la musique de SIMPLE PLAN avec ses riffs mordants et ses refrains facilement mémorisables.

Le single When I’m gone qui ouvre les hostilités donne presque à lui seul un aperçu de la composition du L.P. Simple Plan, sans toutefois bouleverser son approche, adopte un angle d’attaque cette fois-ci plus power-rock que melodic-punk. Mais s’il est une constante que l’on retrouve et qui saura donc satisfaire les fans, c’est bien le sens mélodique de la formation qui s’exprime pleinement lors des chorus.

Le quintette en a par ailleurs profité pour s’ouvrir à de nouvelles sonorités à tendance plutôt électro (claviers, samples…) qui viennent parfois mâtiner les couplets, ce qui a pour effet de créer un effet de “rupture” avec des refrains généralement plus envolés comme c’est le cas sur le titre The end. Certains de ces exercices de style surprennent à la première écoute mais le caractère foncièrement direct des compositions finit par l’emporter.
Au final donc et sans toucher à quoi que ce soit de fondamental à sa fibre initiale, Simple Plan parvient à apporter quelques variations qui permettent à ce nouvel album d’éviter l’effet “recuit” et de proposer une approche nouvelle dans la discographie du combo. Le fait d’avoir mis de côté son pseudo-punk qui n’a pas été toujours convainquant permet à Simple Plan de gagner l’identité propre qui lui faisait défaut jusqu’alors.


dimanche 9 mars 2008

L'ENNEMI INTIME


Que dire de ce film ? Un scénario ultra classique, un lieutenant idéaliste ,un sergent désabusé ,voulant dénoncer les horreurs de la guerre (sic) ce film aurait été juste en 1960 .Hélas en 2008 ce film ne sert à rien .

mardi 4 mars 2008


Parmi la multitude de films comiques français (ou supposés) sortis ces dernières années, La cité de la peur a su obtenir à mes yeux une place de choix. Les raisons en sont simples : une avalanche de gags tous aussi irrésistibles, idiots, et incongrus, menés à un rythme frénétique ne laissant pas au spectateur une seule seconde pour reprendre son souffle entre deux fous rires. Soyons clairs et directs : cette recette est aussi celle de Mais, qui as tué Pamela Rose. Familiers ou pas à l'humour de Kad et Olivier, pour peu que tu sois amateurs de ce style de comédie complètement loufoque où tout est prétexte à un gag, tu trouveras ton compte ici, et ce dès la première seconde du film (la dédicace est hilarante). Pamela Rose ne se contente pas, comme n'importe quel film pourrait le faire, d'aligner bêtement des gags prévisibles et déjà usés : sur chacun d'entre eux, on sent réellement un souffle donnant une impression de nouveauté qui les rendent encore plus communicatifs. Le film se permet même d'utiliser son propre statut de "film" comme outil à certains gags bien trouvés (placements de caméra, générique, "Film de Kad et Olivier", ...).
L'enquête est servie dans son ensemble par une brochette de comédiens tous au meilleur de leur forme : Darmon est comme d'habitude excellent, à tel point qu'on aurait souhaité qu'il soit encore plus présent, Kad et Olivier s'adaptent parfaitement à l'écran, et chaque guest-star (dont un Alain Chabat bien déguisé) sert l'avalanche de gags du film.
Kad et Olivier réussissent avec les félicitations du jury leur passage sur grand écran en espérant vraiment qu'ils ne s'arrêtent pas là. Mais qui a tué Pamela Rose s'inscrit dans la ligné des Cité de La Peur et Astérix Mission Cléopâtre : par sa simplicité et son aboutissement il vous fera rire, hurler de rire comme rarement...