
Ainsi, si le casting est en effet impressionnant dans le sens où il fait appel à des personnalités connues, ils s’avèrent souvent qu’elles n’ont que très peu de rapports réels à l’intrigue. Elles viennent simplement faire une petite apparition qui tombe généralement à plat. Il suffit juste de repenser à Dany Brillant venant chantonner trois mots au deux tiers du film pour se dire que tout cela n’était pas très utile… Cet Astérix et Obélix regorge donc d’une multitude d’apparitions plus ou moins intéressantes et dont la plus appréciable est sans conteste la présence de Schumacher en tant que pilote de char, puisque son personnage s’intègre dans la logique de la scène. Pour tout ce qui est des autres, de Francis Lalanne à Jamel, ils ne font que meubler l’intrigue. L’histoire en prend d’ailleurs parallèlement un sacré coup, puisqu’elle est quasi inexistante. Le jeu excessif de Poelvoorde et son personnage de Brutus n’est qu’une usine à gags foireux,et la lourdeur plus qu’énervante, fait sourire en début de projection il devient de plus en plus antipathique et Poelvoorde nous donne l’impression très étrange de comprendre le marasme dans lequel il se trouve plongé.

le sort du village héroïque nous semble totalement futile, tout comme l’histoire d’amour, élément déclencheur de l’intrigue. Mais cela ne semble déranger aucun des quatre scénaristes visiblement plus intéressés de caser leurs copains ou quelques clins d’œil douteux, que de constituer une vraie trame narrative… Tout est donc survolé, au profit de séquences sensées être drôles, mais dont la platitude ne semblaient pas plus amuser les gamins dans la salle…

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1 commentaire:
franchement c'est pas le genre de films que j'ai envie de voir , en plus avec le matraquage qu'on a subit c'est encore plus redhibitoire (t'as vu le vocabulaire que j'ai ?)
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