
Toute l'équipe de Muse-Art vous souhaite une bonne et heureuse année .

Voici un petit inventaire de quelques styles de métal répertoriés à ce jour, honnêtement y'en a certains que je ne connaissais même pas avant de me lancer la-dedans. A côté des styles j'ai mis les noms de groupes qui s'en rapprochent le plus ou qui sont complètement dedans, évidemment je ne cherche à cataloguer personne car tout le monde à un avis différent sur le style de chaque groupe, c'est donc juste à titre indicatif que je l'ai fait.
Alternatif -> Pixies, Hole
Black Metal -> Mayehm, Marduk
Blues Rock -> AC/DC, ZZ Top
Christian Core -> Zao
Dark Metal -> My Dying Bride, Sceptic Flesh
Deathcore -> Darkest Hour
Death Metal -> Canninbal Corpse, Morbid Angel
Doom (non pas le jeu) -> Dark Tranquility
Electro. Body. Music -> Front Line Assembly, :Wumpscutt:, Skinny Puppy, Das Ich
Fusion -> Rage Against The Machine, Urban Dance Squad
Fusion funk/rock: Red Hot Chili Peppers, Infectious Groove
Glam -> Poison, Twisted Sisters, New-York Dolls
Grindcore -> Nasum, Berserker
Grunge -> Nirvana, Pearl Jam
Gothic -> Christian Death, Bauhaus
Hard FM -> Bon Jovi, Van Halen
Hard Progressif -> Dream Theater, Angra
Hard Rock -> Deep Purple, Led Zeppelin
Hardcore -> Madball, Biohazard
Heavy Metal -> Iron Maiden, Motörhead
Hopcore -> Pleymo
Indus -> Einsturzende Neubauten, Sielwolf
Indus-Métal -> Marilyn Manson, N.I.N, Ministry
Metal -> Kilgore
Metalcore -> As I Lay Dying
Neo-Metal -> Deftones, Korn
Power Metal -> Pantera
Punk (et toutes ses variantes: skate punk, punkcore etc...) -> NoFx, Suicidal Tendencies
Rapcore -> Watcha
Rap Metal -> Limp Bizkit, (Hed)Pe
Rock -> Rolling Stones, U2
Rock US -> Live, Bush
Rock Progressif -> Smashing Pumpkins, Marillion
Tanzer (ou Tanz Metal) -> Rammstein
Thrash -> Slayer, Kreator
Thrash/Death -> Sepultura
Cyber Metal -> Fear Factory, Mnemic
Speed Metal -> Helloween, Gamma Ray, Saxon
Spooky Core -> Coal Chamber
Enfin il y a les inclassables, quelques groupes qui ne rentrent dans aucune catégorie, mais dans les inclassables il y a aussi des styles dans lesquels on arrive pas à mettre de groupes. Bah oui c'est possible, mais alors à quoi sert un style si on n'a rien à mettre dedans? Je ne sais pas mais toujours est-iles que les genres suivant ont tous été répertorié comme existant. En général ils sont un peu extrême et connu uniquement de quelques initiés ou de ceux qui les ont inventé. Quelques exemples de perles du genre avec pour commencer celui qui est de loin mon préféré:
- le Troll Metal (lanceurs! préparez vos nains!)
- le Black Folklorique (avec tambourins, guimbardes et bignoux)
- la tendance flower power avec le Gothic Thrash Psychédélique (Thrash et Gothic en même temps je demande à voir)
- le Evil Death Metal ('tention là c'est des méchants)
- le Dark Blackwave (union improbable de Depeche Mode et de Cradle Of Filth????)
et enfin last but not least
- le Brutal Unholy Death Metal (rien que ça)
Enfin je vous ai fais un petite liste de style existant et complètement hallucinant. Enjoy!!!
- le white metal (inverse du black)
- le dark/death atmoshperico-melodique
- l'ultimate brutal death, le power heavy speed
- le black dark symphonic
- le black epic
- le death apocalyptico-rock
- l'indus ritual black
- le dark ethnic
- le sympho-grind delirium
- le melodic techno death
- le death atmospherico-gothic
- le heavy atmospheric
- le slow electro doom
- l'electro trash baroque
- l'horror dark metal
- le sophisticated black
- l'ultra diversified doom
- l'original doom death
- l'epic fantasy metal hymne
- le trash atmospherico-gothic
- le grandiose extreme metal
- l'irish gothic metal
- l'high tech death
- le dreamy emotional death
- l'ultimate dark symphonic
- le gothic death n' roll
- l'atom-electro-pop death
- le trash culte fantastique
- le death culte
- le dark metal romantique
- l'heavy black symphonico-progressif
- le nuclear black metal (à vos casques!)
- l'atmosphérique symphonique funèbre
et pour finir
- l'epic fantasy metal.
Voilà si avec ça vous n'arrivez pas à caser votre groupe... faut consulter.
jeudi 20 décembre 2007
Depuis sa formation en 1987 dans une banlieue de Stockholm sous le nom de Blitzkrieg, Therion a parcouru du chemin, évoluant d’un death metal brut de décoffrage vers une approche beaucoup plus symphonique de sa musique. Therion fait désormais la part belle aux chœurs et au chant lyrique ainsi qu’à des instruments tels que le violon ou le violoncelle, peu communs dans le monde du metal. Un orchestre symphonique a même participé même à l’enregistrement de leurs albums Lemuria et Sirius B.



















Tiens le dernier Sum , va t'il nous séduire parce qu’après le dernier opus, il existait un espoir ténu que les Canadiens s’affranchissent de leur lourd passif MTV et s’engagent sur une voie un peu plus attrayante, sans franche originalité mais avec un certain talent pour chaparder à gauche et à droite les éléments qui feraient oublier leur obsession à réinventer perpétuellement la roue. Espoir déçu, comme vous allez le constater.
Le précédent album, Chuck, possédait en effet tout ce qu’il fallait pour contenter fugacement l’amateur de metal moyen vaguement allergique au pseudo-punk d’outre-Atlantique. Sum 41 était parvenu à nous fourguer un bon petit album, moins lassant et répétitif que 95% de ses confrères. Positivons : Sum 41 a évolué depuis le dernier album puisque ce Underclass hero ressemble à s’y méprendre à l’avant-dernier (et même à celui d’avant...). En gros, il s’agissait de reculer pour mieux sauter, faire un double-salto arrière et atterrir cinq mètres derrière son point de départ.
Ceci dit, Underclass hero n’est pas non plus une terrifiante catastrophe. Evidemment, c’est du réchauffé, conformiste à crever, les ballades sont pénibles . Mais à écouter comme ça sans chercher la petite bête, quelques-uns parmi les morceaux proposés restent bêtement plaisants. Ainsi, la chanson Underclass hero déborde littéralement d’une saine fougue juvénile. A dire vrai, elle est même vraiment rafraîchissante avec un refrain très entraînant . Tant qu’à faire, March of the dogs n’est pas mal non plus et King of the contradiction n’a pas eu le temps de m’emmerder durant la grosse minute qu’il dure. Le reste ? Bah, on s’en fout en peu, du reste : trois agréables morceaux sur un album de ce genre, c’est déjà plus que ce qu’on peut en espérer. Tout au plus restera-t-on médusé devant Ma poubelle, incompréhensible chansonnette scato - et en français s’il vous plaît - que n’aurait pas renié Laurent Gerra lorsqu’il se fiche des Québécois. Malgré cette condescendance manifeste, je ne voudrais pas pour autant offenser les fans transis de Sum 41. S’ils éprouvent des frissons dans l’échine à écouter de la musique recyclée, ce n’est pas moi, qui leur jetterai la pierre. Les Sum 41 sont jeunes, jouent à toute allure et brûlent quinze mille calories par morceau. Finalement, cet esprit « petit con survolté » a au moins le mérite d’atténuer leurs pitoyables prétentions d’observateurs politiques. Et la production, monumentale et totalement lisse, devrait être étudiée dans toutes les bonnes écoles d’ingénieurs du son, option multinationale du disque.
Dormez tranquille, bonnes gens, tout est redevenu comme avant... A une époque où Sum 41 et un millier d’autres tâcherons, en bons shadoks du rock, se pompaient, pompaient les uns les autres...






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