vendredi 29 février 2008

SCREAM SILENCE " Saviourine"


Comme j'ai pas mal de CD sur mon étagère de temps en temps (c'est à dire tout le temps ) j'en prends un par hasard et j'écoute et là deux cas se présente à moi .
Premier cas : C'est pas vrai quelle merde c'est pas possible que j'avais ce truc immonde et hop je mets sans hésiter à la poubelle .
Deuxième cas : C'est pas vrai quel chef d'œuvre c'est pas possible que je m'en rends compte seulement .
Alors la question que je pose cet album est dans quel cas ?
REPONSE DEMAIN .
Et toi dans quel cas tu le case cet album ?

jeudi 28 février 2008

Asterix aux jeux olympiques

Le budget colossale investit sur le film étant amplement amorti visuellement par les décors somptueux qui s’imposent dès le générique comme la grande réussite du film. Lorsqu’on nous annonçait un casting phénoménal, de l’action à tout va et de l’humour à répétition, on pouvait logiquement s’attendre à un rendu plus proche de l’épisode d’Alain Chabat que de celui de Langman. En effet, beaucoup de choses ont été promises, mais c’est justement à cause de cette surenchère dans toutes les catégories que le film échoue finalement un peu dans toutes ses ambitions.

CINE ASTERIX AUX JEUX OLYMPIQUES


Ainsi, si le casting est en effet impressionnant dans le sens où il fait appel à des personnalités connues, ils s’avèrent souvent qu’elles n’ont que très peu de rapports réels à l’intrigue. Elles viennent simplement faire une petite apparition qui tombe généralement à plat. Il suffit juste de repenser à Dany Brillant venant chantonner trois mots au deux tiers du film pour se dire que tout cela n’était pas très utile… Cet Astérix et Obélix regorge donc d’une multitude d’apparitions plus ou moins intéressantes et dont la plus appréciable est sans conteste la présence de Schumacher en tant que pilote de char, puisque son personnage s’intègre dans la logique de la scène. Pour tout ce qui est des autres, de Francis Lalanne à Jamel, ils ne font que meubler l’intrigue. L’histoire en prend d’ailleurs parallèlement un sacré coup, puisqu’elle est quasi inexistante. Le jeu excessif de Poelvoorde et son personnage de Brutus n’est qu’une usine à gags foireux,et la lourdeur plus qu’énervante, fait sourire en début de projection il devient de plus en plus antipathique et Poelvoorde nous donne l’impression très étrange de comprendre le marasme dans lequel il se trouve plongé.

CINE ASTERIX AUX JEUX OLYMPIQUES


le sort du village héroïque nous semble totalement futile, tout comme l’histoire d’amour, élément déclencheur de l’intrigue. Mais cela ne semble déranger aucun des quatre scénaristes visiblement plus intéressés de caser leurs copains ou quelques clins d’œil douteux, que de constituer une vraie trame narrative… Tout est donc survolé, au profit de séquences sensées être drôles, mais dont la platitude ne semblaient pas plus amuser les gamins dans la salle…

CINE ASTERIX AUX JEUX OLYMPIQUES

vendredi 22 février 2008

THE DOGMA " Black roses "


Pour oublier RHAPSODY qui faut bien le dire c'est pas terrible (Voir message laissé dans rock til'death) je propose cet album premier essai de ces Italiens mais qui font preuve d'une grande maturité. Cet opus basé sur des guitares bien heavy se retrouve transcendé par une superbe voix lyrique et mélancolique,une chorale épique et des claviers qui complètent le travail des guitares. La musique est puissante , mélodique, bourrée d'émotions sans pour autant tomber dans la surenchère ( hein Rhapsody) Allez Moulagaufre je t'invite à écouter cet album dont je suis sur te séduira .

jeudi 21 février 2008

CREMATORY " Pray"


Le dernier album de CREMATORY .A l'écoute de Pray on note un retour vers un son plus 'metal goth'. La formule, quand à elle, n'a pas changé, prenez un duo voix grave / voix claire qui se complète bien, c'est clairement la marque de fabrique de Crematory, ajoutez des synthés / notes de piano pour l'atmosphère et des guitares mélodiques. Le chant allemand présent sur 'Klagebilder' n'est plus de la partie, c'est donc le retour du chant en anglais.
Crematory reste fidèle à lui-même et cet album en est la preuve, il ne révolutionne pas son style, il le fait doucement évoluer, 'Say Goodbye' en ai la preuve. Les ambiances au clavier sont variées et habillement placées dans les titres. Les influences électro non présentes sur cet album ne sont pas une grande perte pour moi, je préfère ce retour à un son plus 'métal goth' avec ambiance piano et guitares sèches.

THE BOYS


Allez un autre classique cette fois du punk des années 70 . Rien que des hits ,à l'énergie, oh bien sur ce n'est pas de grands musiciens mais il avaient la pêche et mettaient tout sur le feeling .
Ca n'a pas vieilli et nom de Dieu que ça fait du bien . Tiens je m'en remets un pour la route c'est ma tournée .

mardi 19 février 2008

OZZY OSBOURNE " Ozzmosis"


Allez un petit classique pour la route. Ozzy s’est calmé avec le temps. Les tempos se sont ralentis
les guitares bombent le torse et les claviers nous font le gros dos pour nous mettre une grosse claque. Ensuite viennent deux ballades plutôt réussies ( la power-ballad « I just want you », et la plus calme au piano « old L.A in the night »).
Le reste de l’album sera à cette image, alternant les compos lourdes fortement influencées par la mouvance Grunge planante de cette époque et des morceaux plus nuancés mais néanmoins excellent.
Les puristes de la première heure pourront trouver à redire sur l’évolution du chanteur, mais on ne peut pas lui enlever son sens de la mélodie et sa voix inimitable. Pas de doutes, c’est bien du Ozzy. Un album à avoir pour tout fan du Madman.

vendredi 15 février 2008

LEONARD



Une nouvelle avalanche de gags en une, deux, trois planches.
Léonard est un inventeur de génie. Il expérimente à nouveau, au détriment d'autrui souvent, les inventions les plus farfelues. Il a une maxime : "Inventons, il en restera toujours quelque chose".
Il met alors ses inventions en pratique, flanqué de Basile -son disciple et souffre-douleur- qui n'aspire qu'à une vie paisible et au farniente le plus absolu. C'est malheureusement à Basile que revient -quasi chaque fois- l'honneur de tester les créations du maître.
Les gags sont cocasses, originaux, renouvelés sous la plume éveillée de De Groot et le dessin, rondouillard, de Turk.
A ne pas oublier : Raoul, le chat philosophe; Bernadette, la souris compagne de jeu. Tous nous font rire de bon coeur aux catastrophes déclenchées par Léonard.
Laissez-vous aller, entrez dans ce petit monde cocasse; vous ne le regretterez pas !
OUI VRAIMENT SI TU NE CONNAIS PAS CETTE SERIE BD

vendredi 8 février 2008

MEW "And the glass handed kites up"


Je crois en avoir parlé avec leur premier excellent album "Frengers" .Ils récidivent avec les memes ingrédients, une pop atmosphérique,une voix haut perchée et des compositions originales. Ces petits danois(et oui ici pas de riff métallique) sont mon coup de coeur du mois .
A déguster avec une coupe de champagne dans un salon XVIII eme siècle car ici c'est la classe.

samedi 2 février 2008

BETRAY MY SECRETS


A la première écoute de cet album il y a quelques mois(année?)j'avais été scotché.
A la réecoute de ce meme album il y a quelques heures(jours?) je suis plus partagé entre le fait que l'idée de base reste original et trés peu exploitée faire se rencontrer le "Doom,Gothic,métal et les sonorités de l'extreme orient ,mais d'un autre coté ils n'exploite pas cette idée à fond et nous asséne des accords simplistes puissants mais sans originalité .
je reste mi figue mi raisin à la fin de l'album en me disant que j'ai failli écouter un chef d'oeuvre .

vendredi 1 février 2008

PLEASANTVILLE


Vu hier soir un film des années 80 Voila une belle fable, poétique, esthétique, bien jouée et porteuse de sens.
Le film raconte l'histoire d'un adolescent naïf et reveur (Tobey Mc Guire) qui va se retrouver avec sa soeur Jennifer, interprétée par Reese Witherspoon, plongé au coeur d'une série des années 50 ou, pour raccourcir : "tout le monde il beau, tout le monde il est gentil", j'ai nommé : Pleasantville !
Dans ce monde formaté "happy", David et Jennifer vont faire découvrir aux habitants leur propre personnalité et ainsi, apporter la couleur à Pleasantville.
Chapeau bas à l'esthétique du film et aux techniques de travail sur l'image pour créer des effets spéciaux impressionnants (mixage d'images en couleurs et en noir & blanc).